Sous un référen-ciel étoilé (lire la suite)

Syndicats contestataires ?

A qui pense-t-on la faire ?

Aux tisaneries narquoises de l’UNCAM

On laisse son veston contestataire au vestiaire des dames.

C’est, des carpes aphones, le Grand-Messe

Aussi volubiles que Bénédictins à confesse.

Tandis que Frédéric, immanquablement, nous fout la pâté

Pas une mouche ne vole dans l’assemblée…

 

Quinze années de valses-hésitation

A complaire à sa base et surtout à ses cotisations

Sans jamais déplaire au Prince Consort

Ni à sa Formation Continue et à ses lingots d’or.

 

Là est tout l’art du paraître

Sans jamais être, ni disparaître.

Demeurer dans le vague

Faire la planche sur la vague.

Rester, d’un trompe-l’œil populiste, revendicatif

Sans jamais se prendre de l’Etat un mauvais bourre-pif.

Un vrai ballet aux Ordres pour soubrettes

Sans jamais se Renié ni trop se compromettre.

 

C’est la danse des voiles, l’illusion d’optique

Des hautes sphères de l’intelligentsia politique.

 

Mais peut-on leur en vouloir ?

Tout n’est qu’affaire de Pouvoir ou de ne pas se pourvoir.

Coincé entre le marteau et l’enclume

Au jeu des chaises musicales, on retrouve vite son blase sur le bitume.

Il y a toujours un bon pote pour vous pousser dans le dos

Histoire de voir ce que ça fait d’en haut…

 

L’Ordre est conçu par la FFMKR comme le sédiment du Nil.

Par le SNMKR, comme son crocodile.

Pour l’un, c’est terre de Cocagne et Renié son pigeon.

Pour l’autre, dagues sous la toge et promesses de trahisons.

 

Quant à Renié, souvent plus Court qu’Altier

Dans cet entrelacs hautement faisandé

A grands coups de pince-sans-rire-monseigneur

Il enfonce le clou et rive les hauts le cœur.

Affolé, ne sachant plus où donner de l’autorité, au plus pressé il urge

Et de nos cotisations, au pas sages, fait la purge…

 

Concombre masqué du SNMKR

La bonne à tout faire.

Nous parlons, bien sûr, d’UNION

Sur la touche, coupeuse de citrons.

En rien elle ne prendra jamais partition

Ou juste pour plagier le patron.

Je marche dans les pas de mon pépère

J’ai cité, la FFMKR…

 

Pour sûr, à ce train de sénateurs copistes

On n’est pas près de décoller de la piste… 

 

Mais, et c’est bien catalogué

Dès qu’on l’épluche, l’UNION fait pleurer…

 

Pour autant, après quinze ans de coma léthargique

La Fédé, de son récent réveil anaphylactique 

Suscitent perplexité et curiosité

Et plus encore sagacité.

Curieusement, l’on n’y croit guère

Après tant d’années de galère. 

L’on n’est pas mignonne d’Etat et sa Grande Trésorière

Depuis Mathusalem, sans un brin d’adultères.

Qui sera le prochain cocu de l’affaire ?

On en fiche notre billet, sûrement pas Alain ou le Ministère…

 

Alors, qui reste-t-il pour jouer les bonnes poires ?

Nous encore, les manuts ? Ce serait superfétatoire…


Intérêts divergents ?

 

Allez ! Par pure taquinerie

Qui - selon vous - est aujourd’hui

Le Cassandre de la Formation Continue

Et à pognon sur rue ? 

Qui décide en toute « discrétion »

Des ses hautes distributions

Des millions d’euros bigarrés

Vers des organismes plus ou moins bien barrés ?

 

Qui arrête que monsieur Machin (nécessairement de la FFMKR)

Bénéficiera d’une lourde enveloppe financière

Pour ses folkloriques massages au reblochon

Et son inénarrable manière de prendre le patient pour un con ?

Qui décide que monsieur Truc ( inévitablement du SNMKR)

Ira, quant à lui, que nife, se rhabiller aux vestiaires ?…

 

  • Votre serviteur ?
  • Goldorak ?
  • UNION et ses pions ?
  • Un honorable et ô combien impartial membre du bureau national de la Fédé, que chaste pudeur (et souci de tranquillité) m’empêchent présentement de citer ?

    Alors, qui croire encore en ce navrant concert ?
    C’est le voyage de Gulliver…


Pour sûr, des négociations, Alain, rubicond,  a claqué la porte sans préambule

Mais, secrètement, n’espère-t-il pas qu’on le siffle aux pieds dés le vestibule ?…

 

A cet enfin sursaut d’honneur d’une profession, nous voudrions croire.

Mais, l’expérience aidant, n’est-ce pas, une fois encore, que vain espoir ?…

 

L’avenir le dira ou ne le dira pas, c’est selon.

Une fois de plus aura-t-on été pris à peler pour des esturgeons ?…

 

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